Les magrets
Et voilà, coupine, la boucle est bouclée! Tu as lu tout ce que j’avais écris, en 2012.
Je remets ici « Les magrets », qui est la suite de ce feuilleton, par souci de cohérence.
Merci de m’avoir lue. Merci pour ton enthousiasme et tes compliments, coupine. Ils ont enjolivé ces derniers jours. Merci beaucoup.
Merci surtout pour tes mots d’encouragements, coupinette!
Parce qu’ils me donnent de l’élan. J’ai commencé un autre texte, il y a quelques jours. Je ne l’ai pas encore fini mais ça se présente mieux que « Les magrets ». Autrement dit, tu ne devrais pas avoir à attendre des mois pour le lire, mon amie.
A très bientôt. Et encore merci.
LES MAGRETS
– Nadine –
Voilà quinze jours que Nadine planifiait un dîner qu’elle voulait parfait.
Elle avait donc élaboré son menu plus de dix jours à l’avance. Elle avait imaginé une décoration de table sophistiquée et opté, après moult hésitations, pour son service à étoiles cuivrées. Bien évidemment, elle avait pensé à la musique avant, pendant et après le repas. Et puis elle avait décidé d’éclairer la table avec des bougies pour une ambiance plus intimiste. Elle avait tout organisé, tout prévu.
Mais aujourd’hui, veille du grand jour, elle avait perdu les magrets de canard.
C’était incompréhensible. Elle ne savait pas où ils étaient.
Si ça n’était pas une telle catastrophe, elle en rirait presque, tellement c’était grotesque. Comment pouvait-on perdre des denrées achetées deux heures plus tôt ?
Elle avait tenté de se rappeler tout ce qu’elle avait fait depuis qu’elle avait quitté la boucherie. Elle avait fouillé sa voiture, son garage et toutes les pièces dans lesquelles elle était passée en arrivant chez elle. En vain. Les magrets étaient introuvables.
C’était totalement fou.
Alors, pour ne pas se laisser engloutir par le mélange d’angoisse et de colère qu’elle sentait monter, elle avait attrapé ses clés et était repartie en voiture chercher de nouveaux magrets à la boucherie Le Bourdonnec où elle les avait commandés. Elle priait pour qu’ils en aient d’autres parce que sinon, son menu était fichu. Elle n’avait pas osé les appeler, elle avait trop peur de s’effondrer s’ils lui disaient qu’ils n’en avaient plus. Elle avait préféré y aller directement. Misère, qu’allait-elle faire s’il n’y avait plus de magrets ?
Ce genre de chose ne lui était jamais arrivé, avant. Avant, elle ne perdait jamais rien. Elle était d’une efficacité redoutable. Elle ne ratait jamais rien, avant.
Mais depuis une dizaine de jours, elle se déglinguait, elle s’éparpillait, elle faisait n’importe quoi.
A cause de Xavier.
Leur rupture avait été abominable. Il l’avait invitée dans un bar cossu du 8e arrondissement pour lui annoncer qu’il était tombé amoureux d’une autre et qu’il la quittait. Elle l’avait mal pris et elle lui avait crié dessus. Il avait quitté les lieux, furieux et embarrassé du scandale qu’elle faisait. Et puis dix minutes après, il lui avait envoyé un SMS.
« Elle est mieux que toi à tous points de vue. »
Elle avait mis cette phrase minable sur le compte de la colère et elle avait effacé le message.
Elle savait bien qu’entre eux, cela ne pouvait pas durer éternellement. Il avait douze ans de moins qu’elle et il était séparé de la mère de son petit garçon. Elle se doutait bien qu’un jour, il aurait envie de construire quelque chose.
Et elle pouvait comprendre qu’il ait cherché ailleurs ce qu’elle ne pouvait pas lui offrir.
Elle avait été claire dès le départ : elle ne quitterait pas son mari. Elle ne sacrifierait rien. Ni sa famille, ni sa grande maison en plein cœur du quinzième arrondissement, ni ses vacances, ni son train de vie. Elle ne voulait rien changer à sa vie, elle l’aimait comme ça.
Entre eux, il n’y aurait rien de plus que ces rendez-vous plusieurs fois par semaine, au Grand Hôtel Amelot, dans le 11eme. Même pas un week-end à deux. Elle ne voulait pas qu’ils s’enchaînent l’un à l’autre.
Il ne s’était jamais plaint. Pendant huit mois, ils avaient eu une liaison passionnée et légère à la fois. Leur relation ne s’était encombrée ni de promesses ni d’exigences. Ils se retrouvaient à l’hôtel et passaient ensemble deux heures ardentes. Puis ils se quittaient sur un sourire charmeur qui leur donnait envie de se revoir. Ils ne cherchaient pas plus loin que ce plaisir qu’ils partageaient à l’hôtel avant de retourner à leurs vies respectives.
C’était bien. Mais c’était sans espoir pour lui. Et finalement, il avait, semblait-il, eu envie d’avenir.
Au bout de quelques jours, remise de ses émotions, elle avait essayé de le joindre. Il n’avait répondu à aucun de ses appels. Il n’avait pas non plus pris la peine de la rappeler ni de répondre aux messages qu’elle lui avait envoyés par SMS ou par mail. Ca l’avait vaguement surprise, il ne pouvait quand même pas lui en vouloir à ce point pour cet esclandre au bar ?
Elle avait donc persévéré. Ils ne pouvaient pas se quitter comme ça, abruptement. Ils ne pouvaient pas laisser la laideur de leur dernière entrevue ternir ce qu’ils avaient vécu ensemble. Il fallait qu’ils se voient et qu’ils discutent calmement. Il la quittait, il lui devait bien ça quand même, non ?
Elle lui expliquerait ce qui l’avait mise hors d’elle quand ils s’étaient vus au bar, il s’excuserait de la façon dont il s’y était pris et aussi de ce « Elle est mieux que toi à tous points de vue» puéril, insultant et indigne de lui. Ils se souviendraient des beaux moments de leur relation puis se quitteraient bons amis. Proprement. Elle pourrait alors tourner la page et passer à autre chose.
Sauf qu’il avait persisté dans son silence. Incrédule, elle était allée à son bureau pour lui parler de vive voix. Ca s’était très mal passé. Il l’avait envoyée balader, devant ses collègues, avec une froideur qui l’avait sidérée.
Humiliée et furieuse, elle avait décidé de laisser tomber. Elle n’avait plus envie de parler à ce crétin, plus envie d’une séparation courtoise. Il n’en valait pas la peine, il avait tout saccagé.
Pourtant, elle ne comprenait pas. Pourquoi était-il si hostile ? Pourquoi refusait-il de lui parler ? Qu’avait-elle donc fait de si grave ? C’était un comble tout de même ! Il la quittait et il lui en voulait ? Non mais c’était le monde à l’envers !
Elle s’était mise à gamberger, malgré elle, ressassant ses questions. Que s’était-il passé ? Qu’avait-il donc ? Où était passé le Xavier docile, subjugué, qu’elle avait connu ? Qui était ce type distant et qui refusait de lui parler ?
En fait, c’était depuis la petite phrase méchante qu’il lui avait envoyée, le soir de leur rupture, qu’elle ne reconnaissait plus son ancien amant.
Plus elle y pensait, plus ses mots l’intriguaient, finalement.
« Elle est mieux que toi à tous points de vue ».
Pourquoi lui avait-il écrit ça ? Pourquoi ne s’était-il pas contenté d’aller vivre sa nouvelle histoire d’amour ? Quel intérêt de lui jeter ces mots mesquins à la tête ?
Le Xavier qu’elle connaissait pouvait les avoir écrits sous le coup de la colère, juste pour défroisser sa fierté et lui rendre la monnaie de sa pièce.
Mais il y avait cet autre Xavier, celui qu’elle ne connaissait pas. Peut-être que c’était lui qui avait tapé cette phrase venimeuse ? Pour se venger, bien sûr. Mais peut-être aussi pour lui faire mal.
Elle l’avait imaginé soupesant soigneusement ses mots et appuyant sur la touche d’envoi, froidement, un sourire sinistre aux lèvres. Et puis elle avait ri de son imagination débordante. Un Xavier malveillant qui lui enverrait des mots empoisonnés pour la punir ? C’était franchement n’importe quoi.
Elle ne savait pas pourquoi il lui avait envoyé ces mots mais au fond, ça n’avait aucune importance. C’était fini entre eux. Ce type ne valait rien, elle s’était trompée sur son compte et elle était bien contente qu’ils aient rompu, finalement. Ca lui était bien égal de savoir ce qui l’avait motivé à écrire ces mots.
Pourtant, la phrase revenait régulièrement occuper son esprit. A bien y penser, elle s’aperçut qu’elle n’en comprenait pas vraiment le sens. Qu’est-ce qu’il avait voulu dire par « Elle est mieux que toi à tous points de vue » ? « Mieux que toi », ça voulait dire quoi ? Plus jeune ? Plus belle ? Plus gentille ? Plus intelligente ? Ca ne voulait rien dire, « mieux que toi ». Comment quelqu’un pouvait-il être mieux que quelqu’un d’autre ?
Au fond, ce qu’il lui disait, c’était qu’elle, Nadine, était moins bien que celle qui lui avait succédé.
Quel salaud, franchement !
Peu à peu, Nadine en était venue à penser que ce n’était peut-être pas un délire de son imagination, cette histoire de phrase empoisonnée envoyée exprès pour la blesser. Elle était assaillie de questions : Depuis quand pensait-il qu’elle était moins bien, lui qui avait l’air si amoureux ? L’avait-il aimée, au fond ? L’avait-il vraiment aimée ? Elle en avait été persuadée mais elle ne savait plus… Qu’est-ce qui avait été vrai dans leur histoire ?
Elle repoussait ces questions du mieux qu’elle pouvait mais elle ne parvenait pas à s’en débarrasser.
Et puis elle se sentait inexplicablement triste. Ca l’agaçait, d’ailleurs, d’être triste. Ce pauvre type ne méritait pas qu’elle ait de la peine.
Elle avait attendu que ça passe. Tout passe, avec le temps, n’est-ce pas ?
Mais ni les chapelets de questions, ni la tristesse ne s’émoussaient. Au contraire, plus le temps passait, plus elle pensait à cette relation avec un homme qu’elle croyait connaître et à cette rupture qui lui avait révélé un inconnu. Et à chaque fois qu’elle y pensait, elle avait envie de pleurer.
Elle dormait mal aussi. Elle avait des insomnies et se levait fatiguée. Elle avait également souvent mal à la tête, elle qui n’avait jamais rien d’habitude, pas même un rhume.
Cette histoire la rendait littéralement malade.
Elle s’interrompait en plein milieu de ses phrases, ne se rappelant plus ce qu’elle voulait dire, elle retrouvait, dans des lieux improbables, des objets qu’elle croyait pourtant avoir rangés ailleurs. Elle ne savait soudain plus ce qu’elle se proposait de faire quelques instants auparavant.
Nadine allait mal. De plus en plus mal, même. Et elle avait de plus en plus peur de finir folle, submergée qu’elle était par ses questions sans réponses.
Son obsession avait changé d’objet depuis quelques jours. De nouvelles questions surgissaient, à propos de celle qui lui avait succédé dans la vie de Xavier. Qui était-elle ? Comment l’avait’ il connue ? Depuis quand la voyait-il ? Avait-il trompé Nadine avec elle ? Etait-elle plus belle qu’elle ? Plus jeune qu’elle ? Etait-elle mieux qu’elle ? Vraiment ?
Nadine déprimait lorsqu’elle pensait à sa remplaçante. Elle se défendait tant bien que mal contre l’idée qu’elle était moins bien que cette femme. Mais si ce n’était pas vrai, Xavier ne l’aurait pas quittée, c’était l’évidence même.
Elle s’accrochait à ses repères, aux choses qui lui faisaient du bien, à ce qu’elle maîtrisait depuis toujours et qui l’aidait à croire qu’elle n’était pas moins bien qu’une autre. Pas moins bien que l’autre.
Comme ce dîner qu’elle avait organisé pour qu’Alex leur présente sa nouvelle conquête. Elle n’avait pas sa pareille pour élaborer de grands dîners. Elle avait même une sacrée réputation, dans son entourage. Quand Alex lui avait parlé de cette… Mince, elle ne se rappelait plus son prénom ! Alice ? Héloïse ? Punaise ! Elle n’oubliait jamais un prénom, avant…
Quand Alex lui avait parlé de sa nouvelle copine, elle avait sauté sur l’occasion, pensant que ça lui changerait les idées de les recevoir tous les deux à dîner. Elle avait convié des amis communs à se joindre à eux et elle attendait donc une dizaine de personnes le lendemain soir.
Elle avait pris son après-midi pour faire ses derniers achats. Elle était contente, elle avait été efficace. Rentrée chez elle, elle envisageait de commencer ses préparatifs quand elle s’était aperçue qu’elle avait perdu les magrets.
C’était de pire en pire. Elle était en train de saboter son propre repas. A cause de Xavier et de l’autre. Elle avait rassemblé ses forces pour retourner à la boucherie. Elle avait l’intention de n’y faire qu’un saut et de revenir dare dare.
Et pourtant, voilà qu’elle se retrouvait garée au bas de l’immeuble où travaillait Xavier. Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle faisait là mais elle n’arrivait pas à partir. Elle ne comptait pas aller lui parler, sa tentative de l’autre fois lui avait suffi. Confusément, elle espérait qu’il se passerait quelque chose, quelque chose qui la libérerait de son questionnement.
Ca faisait deux heures et demie qu’elle était là. La boucherie n’allait pas tarder à fermer, il fallait qu’elle s’en aille et vite.
Elle les vit au moment où elle démarrait sa voiture.
Xavier sortait de l’immeuble quand une jeune femme blonde s’approcha de lui. Il l’embrassa sans hésiter et Nadine sut ainsi que c’était elle qui lui avait succédé.
Elle la détailla avidement.
Svelte, pourvue d’une abondante et, il lui fallait bien le reconnaître, magnifique chevelure blonde, la femme lui paraissait effectivement jeune. Nadine constata qu’elle était habillée avec goût, d’une combinaison pantalon semblable à celle qu’elle-même portait, avec un cache-cœur souligné d’un couleur vive. Avec ses talons hauts, elle était plus grande que Xavier de quelques centimètres.
Lorsqu’elle se retourna, après avoir lâché Xavier, Nadine vit qu’elle avait une poitrine généreuse -peut-être bien refaite d’ailleurs, pensa t’elle – mais surtout qu’elle avait la quarantaine bien entamée.
Cela lui causa un choc.
Elle n’était pas plus jeune qu’elle, elle avait le même âge.
La jeunesse, c’était la seule possibilité de « mieux » que Nadine aurait pu comprendre. Une femme plus jeune qu’elle pouvait être définie comme « mieux qu’elle » par un crétin.
Mais une femme du même âge ? Qu’avait-elle de mieux que Nadine ?
Ils se dirigèrent vers la station de métro. Nadine hésitait. Elle l’avait vue, elle savait à quoi elle ressemblait. Elle pouvait s’en aller. Mais elle n’arrivait pas à les quitter des yeux.
Quand elle les vit descendre les marches, elle se décida. Les yeux fixés sur la bouche de métro dans laquelle ils venaient de disparaître, elle sortit de sa voiture et la verrouilla en s’élançant. Elle traversa la rue en courant et descendit rapidement les marches. Elle s’aperçut qu’elle n’avait pas de ticket, n’osa pas sauter par-dessus le tourniquet sous les yeux de l’employé dédié à l’information des voyageurs et se dirigea, à contrecœur, vers l’une des machines accolées au comptoir d’information. Elle trépigna en attendant que la machine lui délivre son ticket puis se rua vers les tourniquets. Elle hésita sur la direction à choisir, décida d’aller sur le quai direction Nord et arriva au moment où la queue de la rame quittait la station. Elle ne vit personne sur le quai.
De l’autre côté, la sonnerie retentissait. Les portes du métro se fermèrent et il quitta la station. Elle constata que le quai était également désert. Elle pesta. Elle ne savait pas dans quelle direction ils étaient allés. Si seulement elle n’avait pas hésité à quitter sa voiture, elle aurait pu les suivre ! En même temps, se raisonnait-elle, ils l’auraient probablement vite repérée, sur le quai ou dans le métro. Et elle aurait été bien embarrassée.
Ce n’était pas plus mal que les choses se terminent ainsi, se dit-elle en remontant lentement à l’air libre. Au fond, leur destination n’avait pas d’importance. Ce qui comptait, c’était qu’elle l’avait vue. L’autre. La « mieux qu’elle à tous points de vue ».
Elle s’était fait une montagne de cette femme. Elle avait fini par se dire qu’elle devait être sublime, jeune, belle, attirante, mystérieuse. Elle s’attendait à être éblouie quand elle la verrait. Eblouie et écrasée de jalousie.
A sa grande surprise, elle la trouvait finalement plutôt quelconque. Pas mal, plutôt jolie, mais pas renversante. Elle avait peut-être une personnalité intéressante, elle était sans doute cultivée. Peut-être aussi était-elle une amante exceptionnelle mais physiquement, Nadine ne se trouvait pas moins bien qu’elle.
Ca lui fit du bien de se dire cela.
Elle ouvrit sa portière et s’installa derrière son volant. C’était incroyable qu’il ait choisi une femme de son âge pour la remplacer. Nadine sentit les questions affluer. Elle les repoussa fermement. Elle réfléchirait à tout ça plus tard. Il fallait qu’elle se dépêche. La boucherie allait fermer.
Se sentant soudain pleine d’énergie et déterminée, elle démarra sa voiture et mis son clignotant.
C’est avec un grand plaisir que j’ai découvert et lu cette nouvelle !
J’ai adoré et tous les matins je me suis précipitée sur ma boite mail pour lire la suite.
Vous m’avez fait un bien fou pour démarrer la journée.
Donc vivement la prochaine !
je vous souhaite plein de bonnes choses !
Encore Merci ♥
Gros bisous =)
Ouiiiiin ! Alors on a pas la suite ?? Snif snif ! Moi qui voulait tant savoir la réaction de Lucas !! Merci en tous cas pour ces bonnes lectures !
Ah bah zut et flûte, j’en voulais encore! Merci beaucoup d’avoir partagé ces petits bouts d’histoire qui m’ont emporté au fil des jours derniers
Snif ! C’est déjà fini !
C’était un des petits moments de plaisir de ma journée de venir découvrir l’épisode du jour …
Vivement les nouvelles histoires !
Merci Tasticottine !
Déjà fini ? Mais heeeeu! Tu nous les as rendus attachants, ces personnages. Et pourquoi reprendre Nadine ? On en était à Alix et Alexandre, non ? J’ai raté quelque chose ?
C’est bien écrit! Mais j’attendais un dénouement, une fin un peu spéciale… Mince, c’est fini?
C’est super d’avoir tous ces petits bouts de vies à la file!
Tu as vraiment un talent fou!!!
Mais c’est vrai, une fin un peu spéciale serait top! (ouiii, j’en veux encore! :-))
Merci à vous de ces mots doux Paty!
Je dois arracher du temps pour écrire mais des commentaires comme le vôtre me font redoubler d’efforts pour le faire.
A bientôt!
Ben vi, je n’ai pas encore écrit la suite, Mamanluciole. Je suis aussi lente en écriture qu’en couture, c’est dire! Le pire, c’est que j’ai la suite dans la tête. reste à trouver le temps de coucher tout ça sur le papier…
Y’a pas d’quoi Marie! Bon, j’ai gravement intérêt à pondre la suite alors. 😀
Oh Corine, je suis très touchée. Merci à toi!
Je ne suis pas sûre de te suivre, Aurore. « On en était à Alix et Alexandre », stadire? J’ai beaucoup hésité avant d’ajouter Nadine et -argh! SPOILER- un autre personnage qui va bientôt arriver, vu la galerie de personnages déjà là. Mais ils ne peuvent rester secondaires, ils imprègnent trop les autres personnages pour que je ne les mette pas en lumière à un moment. Tant qu’à spoiler, l’histoire d’après concerne Alexandre
Non Camille, ce n’est pas fini. Du coup, il n’y a pas (encore) de chute réelle. En fait, ce n’est que le début…
Ah mais ce n’est pas du tout la fin AstérOïde! Je comprends enfin le commentaire de Camille. Quand je dis que la boucle est bouclée, c’est que j’ai mis tout ce que j’ai écrit jusqu’ici. Mais je ne compte pas m’arrêter là. Il va leur arriver encore des bricoles à tous ces personnages, promis!
Ben alors ??????? la suiiiiiiiiiiiite !
Rhooo dis donc, il y avait un petit moment que je n’étais pas venue faire un tour en Tasticottie (découvert un jour pour une trousse de toilette), et du coup je viens de me griller tout mon temps libre sacré de la sieste du mercredi AM 😉 Bravo pour ces histoires, qui entraînent dans la lecture, et tous ces personnages que l’on a envie de suivre! Beaucoup de talent, et de générosité pour partager avec nous..